Annoncée en primeur pendant l’activité Un thé avec Dominique Fortier qui s’est déroulée pendant le 10e festival Québec en toutes lettres, cette mise en lecture m’a immédiatement enchantée. Oui oui, enchantée avant d’y avoir assisté! Il faut savoir que le roman Les villes de papier de Dominique Fortier est un grand coup de cœur pour moi.
Les villes de papier, le livre
Ce roman est comme une doudou qui nous enveloppe de beauté. Dominique Fortier écrit merveilleusement bien!
Pour vous donner une idée à quel point j’aime ce livre, je l’ai lu 3 fois en septembre 2018.
Premièrement, je suis tellement dans le jus pendant les mois de septembre et octobre à cause de la rentrée littéraire que je ne me permets pas de relire des livres.
Deuxièmement, je n’avais pas d’entrevue à effectuer avec Dominique Fortier, donc je n’avais pas de raisons particulières pour relire Les villes de papier.
Troisièmement, je me suis raisonnée après 3 fois parce que j’aurais pu le relire une 4e fois.
Heureusement, je peux tricher en lisant des passages aux clients à la librairie!
Cliquez ici pour lire mon article sur Les villes de papier de Dominique Fortier.
Les villes de papier, la mise en lecture
« Sur scène, la comédienne Marianne Marceau mène le public à la rencontre d’Emily Dickinson, poète qui reste, aujourd’hui encore, une figure mythique des lettres américaines. Cette lecture musicale, tirée du roman Les villes de papier de Dominique Fortier, fait découvrir de l’intérieur celle que l’on surnommait « la dame en blanc », à travers son amour des livres, son jardin et ses souvenirs. »
Tiré de l’événement Facebook de la mise en lecture
Présentée pour la toute première fois, cette mise en lecture a eu lieu à la Maison de la littérature le 19 novembre 2019. D’une durée d’environ 55 minutes, les textes étaient lus par Marianne Marceau, une actrice dont j’ai dit plusieurs fois qu’elle est la meilleure pour lire des textes.
La mise en lecture était sobre, tout comme le livre de Dominique Fortier. Ça n’aurait pas eu de sens d’avoir un décor lourd alors que l’écriture de Dominique Fortier est précise, sans jamais un mot de trop.
Les textes étaient mis en valeur par un piano, sans qu’il prenne trop de place. Sur un écran, on pouvait aussi voir l’unique photo d’Emily Dickinson, une photo de la maison de Homestead et des pages de son herbier.
Une chose que j’ai beaucoup aimé des textes choisis, c’est que ce sont exclusivement les textes sur Emily Dickinson. Pour la petite histoire, le roman Les villes de papier fait des parallèles entre la vie d’Emily Dickinson et celle de Dominique Fortier. Dans cette mise en lecture, tout l’accent est mis sur Emily Dickinson.
Pour une personne comme moi qui a lu le roman, c’est une toute nouvelle lecture. Je n’avais jamais lu exclusivement les textes sur Emily Dickinson.
Et pour une personne (pas comme moi!) qui n’a pas lu le roman, nul besoin de l’avoir lu avant d’assister à la mise en lecture et nul besoin de connaître Emily Dickinson. Mais je vous annonce que ça va vous donner envie de lire le livre!
Souhaitons que cette mise en lecture sera de retour à la Maison de la littérature et qu’elle voyagera dans d’autres villes! N’hésitez pas à proposer cette activité aux lieux culturels que vous fréquentez!
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Libraire, chroniqueuse culturelle et animatrice, ma vie tourne pas mal autour des livres!
(Ma vie tourne aussi pas mal autour de la radio. La preuve : je suis diplômée en animation radiophonique et je veux en vivre.)
Je lis de tout, et partout. Sur papier et sur ma liseuse numérique.
Je parle de mes lectures simplement, comme j'en parle avec mes amis devant un verre ou une tasse. Sentez-vous bien à l'aise de vous préparer un breuvage. 😉
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