
« À votre connaissance, y a-t-il déjà eu un suicide ou une mort violente dans l’immeuble? » Depuis 2012, il est obligatoire au Québec de répondre honnêtement à cette question dans la déclaration du vendeur. Un suicide ou une mort violente peut diminuer la valeur de l’immeuble. Il arrive même que des acheteurs potentiels décident de passer leur tour. Que se passerait-il si une maison où ce sont déroulés des drames continuait d’être habitée? Est-ce que le passé d’une maison peut influencer la vie de ceux qui y résident? Dans ce roman, Katia Gagnon nous présente, à rebours, 4 histoires liées entre elles et liées à une maison du Rang de la Croix.