[ + Audio 🎙 ] Le 14 février, je suis passée à la Librairie Morency pendant ma distribution de livres. Catherine Parent, libraire et co-organisatrice de l’événement, m’a demandé si j’allais au Salon des littératures le 23 mars 2018. Comme je ne connaissais pas cet événement avant qu’elle m’en parle, je n’y serais pas allée. Et je serais passée à côté de quelque chose!
Voici la programmation officielle de cette 4e édition du Salon des littératures, dont la thématique était les lieux.
Comprenez-vous pourquoi je dis que je serais passée à côté de quelque chose?!
Je n’ai pas pu être présente le matin pour le speed dating des éditrices de revues féministes, mais selon ce que j’ai entendu, c’était très chouette de rencontrer Françoise Stéréo, Filles Missiles, Zeugme, Recherches féministes et Moebius.
J’ai demandé à Catherine Parent de me parler de l’activité de speed dating. Vous pouvez écouter sa réponse ici ⤵
Je suis arrivée à temps pour les activités de l’après-midi et je suis restée jusqu’à la fin.
J’ai demandé à Catherine Parent de m’expliquer pourquoi la thématique était les lieux et je lui ai demandé comment les invités avaient été sélectionnés.
Et j’ai demandé à Daniel Grenier pourquoi il avait accepté d’être invité d’honneur (être invité d’honneur implique entre autres de donner une conférence et d’animer une table-ronde).
Vous pouvez écouter ma chronique de 8 minutes, incluant leurs réponses, en cliquant ici ⤵
« On adore son oeuvre. On trouve ça vraiment intéressant. On voulait un écrivain de la ville de Québec. Parce que souvent, on dit que tout se passe à Montréal. » Catherine Parent à propos de Daniel Grenier
Les auteurs invités
Daniel Grenier : Son roman Malgré tout on rit à Saint-Henri se déroule dans le quartier Saint-Henri à Montréal. Et son roman L’année la plus longue est dans ma montagne à lire.
Dominique Fortier : Je vous ai parlé de Dominique Fortier dans cet article sur le livre Révolutions qu’elle a co-écrit avec Nicolas Dickner. Pour ce qui est des lieux, elle parle d’abbaye dans Au péril de la mer et elle parle des bateaux dans Du bon usage des étoiles.
Pierre Nepveu : Peu importe le format de ses œuvres littéraires, les lieux sont importants. Aussi, David Goudreault a lu des extraits de la biographie qu’il a rédigé sur Gaston Miron dans son spectacle Au bout de ta langue : humour debout et poésie drette .
Marie Hélène Poitras : Dans son roman Griffintown, l’auteure raconte la vie des cochers dans le Vieux-Montréal. Elle nous a aussi parlé d’un texte qui a paru au départ dans le journal Voir et qui est maintenant dans le recueil La mort de Mignonne et autres histoires.
Nicholas Dawson : L’auteur aborde l’exil et le déracinement dans son roman Animitas.
En passant, lors du Salon du livre de Montréal en 2017, Aimée Lévesque a recommandé Animitas de Nicholas Dawson ⤵
Il était possible de se procurer tous ces beaux livres au kiosque de la Librarie Morency.
Je laisse le mot de la fin à Catherine Parent ⤵
Alors, on se voit au Salon des littératures 2019?
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