Couverture du roman Le liseur du 6h27 de Jean-Paul Didierlaurent.

« Au fil des ans, les autres usagers avaient fini par faire preuve envers lui de ce genre de respect indulgent que l’on réserve aux doux dingues. Guylain était une respiration qui, durant les vingt minutes que durait le voyage, les arrachait pour un temps à la monotonie des jours. » Lire la suite →