J’ai besoin de votre aide pour sélectionner quels livres je vais lire pour la troisième édition du défi #1000pages50heures! Quoi de mieux qu’un combat des piles pour déterminer LA pile à lire du 16 au 18 septembre?
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Je me suis basée sur ce qui était tout près de mon lit pour bâtir 2 piles. Cliquez sur le titre du livre pour être dirigé vers sa description.
Vous pouvez voter dans la zone de commentaires en bas de l’article ou sur les réseaux sociaux Facebook, Instagram et Twitter.
À vous de jouer!
Pile 1 = 1 046 pages
- Corps conducteurs | Sean Michaels (392 pages)
- Une enfance mal fermée | Jean-François Beauchemin (192 pages)
- À la recherche de New Babylon | Dominique Scali (462 pages)
Pile 2 = 1 028 pages (844 pages lues)
- Un petit pas pour l’homme | Stéphane Dompierre (232 pages) : Un trentenaire laisse sa copine des six dernières années (et demie!). Il se cherche et essaie de se retrouver en prenant plusieurs décisions qui sont… discutables. Il nous partage comment il vit les 5 phases suite au retour au célibat. C’est drôle, pis c’est pas drôle en même temps!
- La caverne | Gilbert Turp (264 pages) : Un homme de 50 ans prend conscience de l’écart entre ce qu’il était et ce qu’il est devenu. La caverne, c’est son studio de radio à Radio-Canada. 30 ans après le début de sa carrière, il remet en question les décisions des gestionnaires qui semblent plus intéressés par la rentabilité que par le développement d’un esprit critique. Le coup de poing qu’il reçoit lorsqu’il prend conscience de l’écart se transforme en coup de pied au cul. Il se réinvente et se redécouvre. Il renait.
- Rénovation | Renaud Jean (144 pages) : Sera lu lors du prochain #1000pages50heures
- Owen Hopkins, Esquire | Simon Roy (248 pages) : Un père en fin de vie signifie indirectement à son fils qu’il est temps que ce dernier remplisse la promesse faite une vingtaine d’années plus tôt. Ce père, un mythomane qui ajoute Esquire à son nom pour se donner de l’importance, a abandonné sa famille suite à un drame. Père et fils ont des conversations difficiles et il est difficile de distinguer le vrai du faux. Ce roman est bien ficelé. Rien n’est laissé au hasard. Le livre est en français et en anglais. Je m’y adapte très bien, mais le lecteur qui n’est pas à l’aise avec la langue de Shakespeare pourrait être irrité par le passage d’une langue à l’autre.
- La Bostonnaise | Lise Potvin (140 pages) : Il s’agit de l’histoire romancée d’une ancêtre de l’auteure, une Anglaise qui fut enlevée par des Amérindiens. Raconté à la première personne, ce roman nous permet d’en apprendre plus sur les guerres amérindiennes et sur les coutumes des premières nations. L’auteure s’est basée sur les résultats des recherches qu’elle a effectuées pendant une dizaine d’années. Le récit est dur, tout comme la vie était dure à la fin du 17e siècle et au début du 18e siècle en Nouvelle-Angleterre et en Nouvelle-France.
Quelle pile vous inspire le plus? De quels livres voulez-vous que je vous parle la semaine prochaine?
Vous avez jusqu’à vendredi midi UTC-04:00 pour voter. Je débuterai mes lectures quelques heures plus tard.
Merci de votre participation!
Pile no 2 ! Juste parce que j’avais bien aimé Stéphane Dompierre…;-)
La pile 2 parce le livre que j’ai écrit en fait parti. La Bostonnaise! Histoire de mon aïeul paternel.
Pile NO 2