Julie lit en ligne 19 : 5 textes lus en ligne.
Déjà la 19e édition de Julie lit en ligne! Chaque semaine, j’ai hâte de vous partager 5 textes que j’ai lus en ligne et d’en discuter avec vous. Bonne lecture!

Les 5 textes lus en ligne dans les derniers jours

Le nombre de «slasheurs» adeptes du pluritravail est en progression | Isabelle Paré / Le Devoir :

« Cette nouvelle façon d’envisager le travail est le propre de travailleurs curieux, autonomes et plus dynamisés par la découverte que la continuité. Éternels touche-à-tout, les slasheurs cumulent souvent les centres d’intérêt, affirme Marielle Barbe, qui les qualifie d’ailleurs de « serial learners ». Leurs passions variées les obligent à apprendre constamment, à se réinventer et à vivre de nouvelles expériences. »

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Le(s) statut(s) de la traductrice littéraire : des textes de loi à la vraie vie | Madeleine Stratford / Magazine Circuit :

« Dans de telles circonstances, doit-on s’étonner que le public voie souvent la traductrice littéraire moins comme une créatrice que comme une bilingue payée pour mener à bien (ou à mal) un « simple » transfert linguistique? L’industrie de la musique fournit un contraste intéressant. En effet, les interprètes jouissent d’une excellente visibilité : leur nom est sur la jaquette des albums et ils font les nouvelles. Tous s’entendent pour dire que l’interprétation d’une musicienne est une forme de création : Verdi chanté par Maria Callas, c’est Verdi, mais aussi la Callas. On ne la traite pas de traîtresse : on la félicite plutôt d’avoir revisité de façon originale et inédite un air connu. Alors pourquoi a-t-on tant de mal à envisager que la traduction d’une œuvre littéraire, qui en incarne l’interprétation unique dans une langue autre que celle qui lui a donné vie, puisse aussi être une œuvre de création, fidèle de surcroît? »

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Getting Things Done, Ten Years In | Nicole Dieker / Lifehacker :

« Doing all of this—practicing GTD—changed my brain. I can’t think of a thing anymore without automatically breaking it down into its components, the individual actions that must be completed before the thing itself is done, sorted, solved. I can’t imagine a Monday without a Weekly Review, or an Open Loop that I let sit in my head for longer than it takes me to reach for my Ubiquitous Capture Device. »

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Édouard Louis : « Ma vie d’écrivain est une vie de honte » | Claire Devarrieux / Libération :

« Je pense que les grands livres, en tout cas les livres que j’admire, se sont constitués contre la littérature, et c’est pour ça qu’ils peuvent ensuite être perçus comme des œuvres littéraires. Je trouve qu’il y a quelque chose de malsain à trop aimer «La littérature». Quand j’ai commencé à écrire, c’était dans un geste de colère contre le champ littéraire. Je découvrais les livres, je lisais, et je me rendais compte que la pauvreté ou la violence que j’avais connues dans mon enfance n’apparaissaient nulle part. Que quelqu’un comme mon père ou ma mère n’apparaissaient jamais dans les livres. C’est pour ça aussi que j’ai écrit, pour me venger de la littérature. La bourgeoisie parle toujours de la littérature comme de quelque chose qui sauve, qui «ouvre les esprits», mais dans la plupart des cas, la littérature, c’est une manière d’exclure et d’humilier les dominés. Il faudrait à la limite toujours se poser la question : qu’est-ce que la littérature exclut pour se constituer comme littérature ? Quelles réalités, quelles vies ? Toni Morrison dit qu’elle a écrit les livres qu’elle aurait aimé lire et qu’elle ne trouvait pas. Quand Zora Neale Hurston ou James Baldwin ont décrit la vie des Noirs américains, ou que Gide a écrit sur l’homosexualité, c’était chaque fois des manières d’inclure de force dans le champ littéraire ce qui avait été mis au dehors. »

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Nana veille sur toi | Rima Elkouri / La Presse+ :

« Danielle Proulx, qui travaille à la DPJ depuis 34 ans, a eu l’idée de monter ce projet pilote après avoir entendu parler à la télé de Kanak, le chien de soutien du Service de police de la Ville de Sherbrooke, qui accompagne de jeunes victimes d’agressions. Pourquoi ne pas avoir aussi un chien de soutien pour les enfants de la DPJ ? s’est-elle dit. »

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